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Nuku Hiva : l'île de beauté des Marquises #1

  • Photo du rédacteur: Alaïs Pénasson
    Alaïs Pénasson
  • 6 janv. 2017
  • 13 min de lecture

Ia orana mes très chers,


Ceci est le dernier (long, très long) article que je vous écrirai depuis la Polynésie. 4 mois se sont écoulés sous la chaleur et le soleil du Pacifique et voilà qu’il nous faut déjà rentrer … Avant de parler du voyage en lui même, je vais vous faire le récit de notre ultime visite ici dans les îles, celle qui aura été ce qu’on appelle « la cerise sur le gâteau ». Nous l’avons choisi sur un coup de tête, nous l’avons attendu avec impatience, nous l’avons fait, nous y sommes restés, je vous présente mesdames et messieurs : L'archipel des Marquises !

Oui les Marquises, mises en lumière en Occident grâce à Brel et Gauguin qui y ont séjourné une partie de leur vie. Terres sauvages, aux paysages similaires à nulle part ailleurs, îles volcaniques, îles mystérieuses et de légendes … et j’en passe. L’archipel des Marquises comprend 12 îles, dont 6 habitées parmi lesquelles se trouve Nuku Hiva la capitale économique qui compte 3 000 habitants contre 40 000 avant l'arrivée des missionnaires.


Au programme : 3 nuits sur place, 1 jour entier de transport et 4 jours de rêve.

Qu’est ce que vous en dîtes ? Vous êtes bien installés ? Car ça risque de prendre un peu de temps à lire mais je vous promets que vous ne regretterez pas de vous y être attardés !


Let’s go :


Départ prévu à 6h45, samedi 31 janvier. Pour ne pas attendre bêtement comme la dernière fois que nous avons pris l’avion, nous nous sommes rendus à l’aéroport en mode « on prend notre temps » et tant mieux, on a à peine attendu 15min avant d’embarquer dans le petit avion Air Tahiti. 3h30 de vol, un ciel semi nuageux, un verre de jus d’ananas local et une petite sieste plus tard et nous atterrissions sur la minuscule piste perchée sur une falaise surplombant l’océan. Le couvercle nuageux nous empêchait de bien voir le relief de l’île mais le peu que nous avons pu apercevoir se révélait prometteur (pour pourrez observer le vrai profil de l’ile à la fin de l'article, le jour de notre départ).



Ce qui nous a interpelés en sortant de l’appareil c’est la lourdeur de l’atmosphère. Nous avions regardé la météo avant d’arriver : quelques averses et un temps nuageux étaient prévus pour les jours à venir …

C’est le responsable de la pension familiale dans laquelle nous allions dormir qui est venu nous chercher dans le tout petit bâtiment qui fait office d’aéroport. Nous sommes montés dans le 4x4 de celui-ci avec un couple de retraités. Marie Laure nous avait prévenus des conditions de circulation : une seule et unique route en béton qui traverse toute l’île pour rejoindre Taiohae, « la ville principale » et les vallées au Nord Est, le reste étant désert et inhabité.


L'étoile au Nord Ouest : l'aéroport

L'étoile violette : la pension

Les étoiles au Sud Ouest : la cascade

Aakapa / Hatiheu / Taipivai : les 3 vallées que nous n'avons pas vu hormis du ciel


La route pour rejoindre le centre ville est une excursion à elle toute seule :


1/ il faut traverser ce qu'ils appellent "la Terre Déserte", qui est une région de l'île totalement dénudée de présence humaine (hormis les chasseurs de sangliers et de chèvres),


2/puis monter jusqu'à 1900m pour atteindre le sommet de l'île, qui est densément végétalisé et très vert. On y trouve une quantité phénoménale de pins (variété caraïbe) qui y a été plantée.



Le grand canyon de l'île


On ne comptait même plus le nombre de virages pour atteindre le sommet

On pouvait même apercevoir l'aéroport d'ici


3/ traverser le plateau de Toovii, qui est en fait le centre du volcan. Changement radical de paysage c'est très plat, toujours aussi vert et on retrouverait presque des aires de campagnes suisses. Retenez bien ce nom, il réapparaitra plus tard.


De toute beauté !


Enfin une partie goudronnée, la route date seulement de 2011 avant il fallait 5h pour rejoindre la ville


Section béton qui constitue essentiellement la route


Ce que j'ai vraiment adoré c'est la présence constante d'animaux : l'île regorge de vaches, de coqs sauvages, de chiens et surtout de chevaux ! Il y en a absolument partout, dans les plaines, les montagnes, perchés en hauteur ou sur la route ! Qu'ils soient domestiqués ou sauvages. Toutes les îles des Marquises sont notamment réputées pour l’équitation.


Quoi de plus beau que les voir en pleine nature


4/ Après avoir monté, il a fallu redescendre vers l'océan. Il y avait un peu de brouillard du coup on n'a pas pu vraiment observer tout le paysage qui nous entourait mais cela n'a pas duré longtemps et croyez moi la vallée est somptueuse.


Voici la vallée de Taihoae, l'endroit le plus peuplé de l'île

Ce qui frappe c'est qu'après 1h de voiture en pleine nature, on rencontre enfin la présence humaine et la civilisation ! Le directeur de la pension nous a fait longer la baie pour nous montrer les différents points d’intérêts avant de nous conduire à la pension Mave Mai où nous avons été accueillis avec un collier de fleurs, une assiette de fruits frais et de la citronnade, tout provenant du jardin.


Depuis le salon extérieur

Nous avons eu une chambre avec vue sur la baie

La pension était rudimentaire, les chambres extra minimalistes mais on s'en fichait, c'était juste pour dormir. En revanche les gens étaient très accueillants et chaleureux. On nous a informé des différentes excursions possibles. J'ai un reproche à faire : chaque pension étant en partenariat avec des prestataires ne proposent souvent qu'une seule sortie, pas le choix du coup : ça signifie un seul prestataire pour faire du cheval, un seul pour faire du bateau et un seul pour faire le tour de l'île en 4x4 ...


On a indiqué que nous souhaitions faire du cheval et l'excursion pour se rendre à la grande cascade de Vaipo. Bien entendu que nous aurions voulu faire la visite des vallées en 4x4 mais il nous manquait une journée complète dans notre agenda. Bon après, pas trop vite au niveau du rythme : en tant qu' occidentaux on est vite déroutés par le rythme polynésien en étant mis au courant le jour même de ce que nous allions faire. Mais c'est une question d'habitude.


Nous sommes ensuite allés manger à la cantine locale du coin, au port, qui propose des plats locaux à base de poissons fraichement pêchés le matin même. Tout le monde s'y retrouve du matin au soir aussi bien les locaux que les touristes. C'est un joli spot qui donne sur toute la baie. Etant en période de fête le peu de commerces et de petits resto affichaient fermés. On était donc vite limités en choix.

Sashimi de thon frais sans chichi pour ce premier repas marquisien donc.


Puis promenade le long de la baie de Taiohae durant tout l'après-midi.

Vue depuis le snack "chez Henri"

Plage de la marina, où Rémy a vu une tortue

Un petit tour au centre d'artisanat

La chaleur étant écrasante, on a dû acheter de l'eau. Comme il n'y a pas d'eau potable sur l'île hormis en haute montagne, il fallait tout le temps anticiper l'achat de bouteilles importées de Tahiti. On s'est arrêtés à l'ombre d'un grand arbre manger une glace au passage. Autant en profiter !


Une bonne glace tout en regardant les gamins jouer au bord de l'eau

Il est dit que les plus grands voiliers du monde font escale dans cette baie

On a fait un détour par l'église communale qui a son charme avec son porche et ses tourelles. On a raté de peu un mariage la veille. Je peux vous dire que c'est tout un événement ici ! Toute l’ile est au courant et n'importe qui peu y participer. Il parait que les mariés se sont déplacés à cheval lors de la cérémonie (pas moins de 1500 invités quand même !). Ici les gens sont très croyants, c'est viscérale pour eux.

Depuis le porche, avec vue directe sur l'océan

On est revenus vers le bord de l'eau pour déambuler dans le jardin de sculptures marquisiennes avec ses pétroglyphes et ses tiki face à l'océan.

Petit rappelle l'île de Pâques n'est pas bien éloignée d'ici

Marae au bord de l'eau

Ce que j'ai trouvé super ce sont les habitations de fortunes construites temporairement sur la plage par les familles nombreuses venues de loin pour passer les fêtes avec leurs proches. Faites de branches, de bois, de feuilles de palmiers et cocotiers. Attention camp de fortune mais équipé quand même : évier, jet pour la douche, salon télé, table, barbecue, hamac, tentes ... Les adultes en train de manger ou jouer à la pétanque (ah oui ici ce sont des fans de pétanque à mon plus grand étonnement) et les enfants tout habillés à l'eau sur leur kayak ou à jouer sur la plage avec les chevaux. La grande réunion de famille par excellence donc.

Le grand père apprenant à ses petites filles à monter

Parce que oui ici il faut impérativement un 4x4 mais aussi un cheval. C'est le pays des chevaux : on a croisé des jeunes musique à fond non pas sur un scooter mais à dos de cheval au galop dans le centre ville, d'autres plus posés avec leur bête à l'ombre des arbres, certains même dans l'eau avec leur chevaux. Tout le monde en à un. et il semblerait que ça se développe de plus en plus, c’est quelque chose qui s'était perdu il y a encore quelques années mais les jeunes reprennent les vieilles habitudes d'antan. Et c'est très plaisant à voir ! Ça fait rêver : aller à la supérette du coin à cheval !


La vie pendant les fêtes

Forcément que les gens voyaient bien que nous étions étrangers bien que nos fleurs au coin de l'oreille mais tout le monde était souriant, avenant. On nous saluait et nous invitait à venir les rejoindre partager un moment, d'autres s’arrêter pour nous souhaiter de bonnes fêtes, il y avait des échanges de regard et de sourire sincères ... Un monde merveilleux et paisible c'est comme ça que je l'ai ressenti. Les gens profitent des plaisirs simples de la vie.

On sentait bien que ces gens sont heureux tout simplement.


Dans la baie le sable est bicolore et extrêmement fin

On s'est arrêté là pour profiter de l'incroyable vision (je vous mets les panoramas dans la galerie) que nous avions mais aussi pour mettre les pieds à l'eau. Pour se rafraichir quoique rafraichir n'est peut être pas le meilleur mot comme l'eau était très chaude, ça nous donnait presque des suées !


Etant arrivés à l'extrémité de la baie, on a fait demi tour en direction d'une supérette, comme seul le petit déjeuner était compris dans le nuits en pension. Sur le chemin on a croisé un poulain et sa maman. Un peu sauvage le petit mais adorable. Les chevaux de l'île ne sont pas bien grands, car il s'agit d'une espèce chilienne (si je me souviens bien) qui n'est pas d'une grande taille mais robuste et endurante.


Il était bien plus petit que moi

Nous sommes rentrés à la pension prendre nous maillots avant de nous rendre à la petite plage de sable gris à gauche du port pour aller nous baigner tandis que le soleil descendait gentiment.

Un 31 décembre dans une eau tiède comme pas possible, les bateaux, les falaises, le soleil, les vagues, le chant des oiseaux et c'est tout. Le pied quoi !


Un endroit parfait pour observer le coucher du soleil

Dernière journée de l'année 2016 qui termine tout en beauté

Un repas de fête était prévu à la salle des fêtes du village (à 1min à pied de la pension, on ne pouvait pas faire plus près !). On s'est préparés, j'ai couvert mes cheveux de fleurs de bougainvilliers à défaut de me fabriquer une couronne et nous sommes descendus au terrain de pétanque où nous avons joué quelques parties avec les locaux et d'autres gens de la pension.

Quand il a eu été l'heure de se rendre à la salle, nous avons suivi le mouvement. Je m'attendais à un grand repas de fête comme on fait dans nos campagnes avec tous les gens du village réunis et tout. Mais là non, il y avait une dizaine de table et quelques personnes seulement. On nous a servi des plats de poisson cru, de cha-o-men et de riz et c'est tout. C'était un peu triste sur les bords de rester entre pensionnaires devant nos assiettes. Heureusement qu'on a parlé et qu'un peu plus tard un spectacle de danse a débuté.


Un spectacle tout en couleur et très rythmé

Ce sont les élèves de l'école de danse locale qui nous ont offerts un joli moment. C'est très différent de la danse tahitienne, ça se voit même sans être expert. On a eu la "chance" d'être sélectionnés pour danser devant toute la salle (aie la cata !), mais c'était assez drôle. Le spectacle terminé, nous voulions aller boire notre dernière bière de l'année sur la plage tout en écoutant la musique au loin et les vagues mais il y a eu de la pluie battante jusqu'au à ce qu'on s'endorme d'épuisement. On dira que pour nous, jour de l'an est passé inaperçu, mais ce n'est pas dramatique pour autant. En tout cas ils ont fait la bringue toute la nuit et même à notre réveil il y avait toujours de l'animation.

Jour 2 :

Bien que n'ayant pas fait la fiesta jusqu'à pas d'heure, le réveil a été difficile, oula ça oui ! Je me suis réveillée x fois dans la nuit à cause de la musique et des averses. Mais au petit matin, le soleil était là et il faisait déjà une température élevée. Premier petit déjeuner pris en terrasse composé d'une grande assiette de fruits frais, de spécialités locales comme des confitures de papaye et de mangue ainsi que des beignets fris (ah oui il faut toujours quelque chose qui tienne au corps). Les jours suivants ça aura été crêpes et pancakes fris pour changer.

On aperçoit le tiki en cours de construction haut de 10m qui surplombera la baie (à gauche)


Nous étions les premiers debout, du coup on a pu jouir tranquillement de la vue depuis la terrasse tout en mangeant. Puis nous avons demandé au gérant s'il pouvait nous conduire au départ de la randonnée qui mène à la baie Colette. Ayant rendez vous à 13h30 pour la sortie cheval nous ne voulions pas être en retard sur notre programme de l'après-midi. Du coup en nous conduisant en haut du col qui donne sur les deux baies à la fois, nous avons économisé un temps précieux.


La voici la Baie Colette au départ du chemin

Il ne nous a fallu que 15min grand max pour rejoindre la plage où quelques personnes faisait déjà un barbecue matinal. A vrai dire il n'y avait rien d'exceptionnel à y faire, c'est juste une baie qui comprend un petit bout de plage de sable et qui est entourée de magnifiques montagnes.


Le chemin par lequel nous sommes arrivés

On s'est mis en marche pour une escabalade sur les roches volcaniques où vivent des milliers de crabes. Il y avait des trous remplis d'eau dans les roches dans lesquels étaient piégés de petits poissons colorés, on aurait dit des aquariums naturels. Mais on n'a pas pu aller aussi loin qu'on l'espérait car il n'y avait plus de roches.


On est revenus sur nos pas pour s'installer sur la petite plage. J'ai même mis les jambes à l'eau, à défaut d'avoir mon maillot. Rémy lui courrait après les crabes. Chacun son truc (rire).

Attrapé

Paisible endroit pour commencer 2017

Le chemin du retour a été plus rude qu'à l'aller, ça grimpait pas mal. Avec cette chaleur qu'une seule envie, aller à l'eau ! On ne s'est pas fait prier en allant faire trempette au milieu des rochers et des poissons sauteurs.

Bougainvillier éclatant

Nous qui pensions être juste au niveau du temps, aucun soucis de ce côté là, nous étions à l'heure sans problème tout en ayant pris notre temps. On a grignoté avant que Sabine, notre guide équestre vienne nous chercher. Déjà, la première chose qui était remarquable c'est que nous n'étions que 2 pour la sortie. On ne pouvait pas espérer mieux ! C'était presque une sortie privative en fait.


Nous sommes montés dans le 4x4 en direction du cœur du volcan : le plateau de Toovii (souvenez vous au début de l'article). On s’inquiétait un peu car le temps sur la route était gris et pluvieux ... Mais une fois arrivés sur place, la pluie a cessé comme par magie. Que je vous présente Sabine : une locale, une vraie, qui parle marquisien avant de parler français, habillée au plus simple, pieds nus, cigarette au bec, et amoureuse de la nature. Une personne vraie, très gentille, généreuse et très intéressante.


Elle nous a conduit jusqu'à sa maison de montagne, une petite cabane au milieu du plateau entourée d'un superbe jardin exotique crée de ses mains. On se serait cru à la ferme : des chiens, des chats, des chevaux, des canards ... Un havre de paix au milieu du silence et encerclé de forêt. C'était presque un moment privilégié d'être là bas.


Le regard perçant

Sabine a préparé nos chevaux. J'adore le cheval mais j'appréhendais un peu car je galère à le faire avancer le peu de fois où j'en ai fait. Mais là il faut reconnaitre que je n'avais pratiquement rien à faire, les chevaux étant habitués, ils avançaient d'eux même assurément. Du coup j'ai pu apprécier la balade dans toute sa totalité et surtout profiter des incroyables paysages qui nous entouraient.


Le cheval de Rémy a été à a traine durant toute la randonnée

On était loin de se croire en Polynésie quand on regardait autour de nous, ce n'était qu'étendues, forêts et verdure à perte de vue et cet immense cirque qui nous encerclait. Je discutais avec Sabine tout en m'émerveillant. J'en ai beaucoup appris sur la culture marquisienne, l'histoire et la façon de vivre d'ici. C'était très instructif.


Et ce calme environnant, whaou c'était bluffant, pas un oiseau, juste le vent et encore ! On a à plusieurs reprises croisés d'autres chevaux dans les forêts de pin au milieu des fougères ou sur la piste. Tous appartenant à Sabine mais vivants semi à l'état sauvage.

On est passé dans des endroits marécageux, des fourrés, des flanc de montagne densément végétalisés ... la météo se stabilisait. Bref je n'ai pas vu le temps passé, je ne voulais pas que ça s'arrête, j'étais trop bien (hormis la scelle qui commençait à se faire sentir) au milieu de nulle part entourée de nature.


Quel beauté ce plateau, quelle chance inouïe d'avoir pu faire ça, et en plus juste tous les 3, sans impression de faire partie d'un système touristique de masse. C'était un vrai échange humain. Même une fois la rando terminée, Sabine nous a invités à visiter son jardin, on a cueilli des fruits de la passion et mangé des bananes au goût succulent, caressé les chevaux, joué avec le chien ou encore câliné le chat. Digne d'un ouvrage de "Martine à la campagne".

Retenez bien c'est un chat qui lui faut à son prochain anniversaire !

Nous sommes rentrés à la pension sous un soleil éclatant (le plateau est généralement couvert tandis qu'il fait beau en bord d'océan) et avons pu découvrir entièrement toute la beauté de cette baie unique en son genre : la hauteur des montagnes et les flancs croulant sous la végétation. Ajoutez à cela une douce lumière de soir d'été. Nous étions aux anges.

Coucher du soleil puis repas du soir Chez Henri encore une fois avec à la carte du poisson cru et crudité. Côté quantité il y avait la dose, ça cale ! On n'a pas fait long feu, les activités de la journée nous avaient bien épuisés et nous avons éteint pas trop tard pour être en forme le lendemain.


PAUSE !


On fait un break, du moins c'est là que se termine ce premier article sur les Marquises. Déjà car il est long mais aussi pour que vous n'ayez pas trop de mal à charger ce dernier, comme les photos sont un peu lourdes. Puis, moi ça me permet de vous écrire la deuxième partie en plus détaillé. Car il s'agit d'une des plus belles excursions que nous avons pu faire en Polynésie.


Alors un peu de patience, ça ne va pas tarder à arriver !



 
 
 

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